La froideur de l'espace

Maîtriser l'astrophotographie en hiver.

Imaginez que vous êtes assis dehors par une chaude nuit d'été et que vous regardez un ciel rempli d'étoiles. Vous êtes dehors, en short et en T-shirt, et vous profitez de la vue tandis que des millions d'étoiles scintillent au-dessus de votre tête. Cela semble agréable, mais la réalité est que cela ne m'arrive presque jamais. Même si j'adore photographier le ciel nocturne, la vérité est que la plupart de mes photos d'astro-paysage sont prises en hiver, et non par une chaude nuit d'été. J'ai récemment passé en revue ma collection d'images du ciel nocturne et presque toutes mes photos préférées ont été prises pendant les mois les plus froids de l'année.

À première vue, l'hiver peut sembler être la période la moins attrayante pour photographier le ciel nocturne, mais il y a plusieurs raisons pour lesquelles je préfère les mois les plus froids de l'année.

• Des nuits plus longues : je suis un homme qui se couche tôt et se lève tôt, il est donc très intéressant de pouvoir sortir en début de soirée pour prendre une photo astro et d'avoir déjà l'obscurité qui enveloppe le paysage. Il en va de même pour le début de la journée. Je peux sortir à cinq ou six heures du matin et avoir encore une bonne heure pour prendre des photos avant que le ciel ne s'éclaircisse. En été, avec les nuits beaucoup plus courtes, on est souvent obligé de prendre des photos entre minuit et deux heures du matin, surtout dans les latitudes moyennes où je vis. Je préférerais être au lit à cette heure-là !
• Un ciel changeant : à la fin de l'automne, le cœur de la Voie lactée a hiberné sous l'horizon pour les habitants de l'hémisphère nord. C'est à cette époque que je me tourne vers d'autres éléments célestes. Ma constellation préférée à photographier est Orion, clairement visible pendant les mois d'hiver. Je pointe mon appareil photo vers le nord pour photographier les traînées d'étoiles à l'aide de la fonction Live Composite. Polaris devient la "star" (désolé, je n'ai pas pu résister) de ces images. À l'approche du mois de février, le cœur de la Voie lactée réapparaît dans le ciel matinal et forme un arc majestueux qu'il est facile de capturer avec l'objectif fisheye M.Zuiko 8mm F1.8 PRO ou en réalisant un panorama avec un autre objectif tel que le 12mm F2.
• Sujets les plus intéressants : certains endroits ont la chance d'avoir des reliefs extraordinaires qui peuvent donner lieu à des gros plans impressionnants dans votre composition (pensez au Sud-Ouest américain). Cependant, je ne vis pas dans cette région. Je vis dans une région où le ciel est sombre, mais il faut plus d'efforts pour trouver et photographier un gros plan intéressant. Ce défi est beaucoup plus facile à relever en hiver. La glace et la neige modifient complètement le paysage et créent des éléments très frappants.
• Tout est une question de lumière : les photographes d'astro-paysages forment un groupe étrange. Nous consacrons beaucoup de temps et d'énergie à atteindre une zone sombre du ciel, puis à l'éclairer pour voir les détails au premier plan. Étant donné la qualité réfléchissante de la glace et de la neige, il est beaucoup plus facile de le faire en hiver, que ce soit à l'aide d'une lampe frontale, d'une torche ou d'un éclairage de faible intensité. Souvent, aucune source de lumière artificielle n'est nécessaire.
• Clair de lune sur la neige : quelle que soit la saison, photographier la pleine lune peut être très gratifiant, mais en hiver, le clair de lune lui-même peut donner lieu à des images de paysages impressionnantes, en particulier en présence d'une couche de neige fraîche.
• Pas d'insectes ! : Au printemps et en été, j'ai trop souvent été chassée à l'intérieur de la maison par une nuée de moustiques. Ce n'est certainement pas un problème pendant les mois d'hiver. Bien sûr, l'hiver a aussi ses parasites : le froid ! Il est absolument essentiel de s'habiller en fonction des conditions. Avec de bons vêtements d'hiver, en particulier des gants et des bottes, j'ai pu rester dehors pendant des heures dans des conditions de froid extrême. Et vous n'avez même pas à vous soucier de votre équipement OM SYSTEM. Il est conçu pour résister à des températures inférieures à zéro.

La constellation d'Orion joue un rôle prépondérant en hiver. Plus tard dans la saison, la Voie lactée revient dans l'hémisphère nord.

Photographier la nuit pose des problèmes importants. La plupart d'entre eux peuvent être facilement surmontés grâce à quelques connaissances de base et à l'aide de certaines des fonctions fantastiques des appareils photo à SYSTÈME OM.

Pour beaucoup de gens, c'est la partie la plus effrayante quand on prend des photos astro. C'était certainement le cas pour moi lorsque j'ai commencé, mais j'ai ensuite découvert quelque chose. Je pouvais utiliser exactement le même équipement que pour mes photos de paysages, et une fois que je connaissais les réglages de base de cet équipement, ils ne changeaient pratiquement jamais. Au fil des ans, j'ai photographié le ciel nocturne avec presque tous les appareils photo numériques produits par Olympus/OM SYSTEM, à commencer par le E-M1 original. Je photographie actuellement avec l'OM-1. En ce qui concerne le choix de l'objectif, je préfère photographier avec des objectifs grand angle et lumineux ; mes objectifs préférés sont le M.Zuiko 8mm F1.8 PRO Fisheye et le 12mm F2. J'emporte également deux ou trois objectifs supplémentaires, un bon trépied, une lampe frontale et l'éclairage bas nécessaire.

Les réglages de l'appareil photo pourraient faire l'objet d'un article séparé, mais voici un bref résumé des réglages de base ;

• Mode manuel : faites vos photos en mode manuel intégral. Les réglages automatiques ou "priorité à" ne fonctionnent pas en cas de prise de vue dans l'obscurité.
• Vitesse d'obturation : avec si peu de lumière disponible, l'appareil photo est incapable de déterminer la vitesse d'obturation appropriée. Si l'exposition est trop longue, vous commencerez à voir des traînées d'étoiles ; si elle est trop courte, il n'y aura pas assez de lumière. Le calcul suivant permet de déterminer la vitesse d'obturation appropriée. Divisez le nombre 200 par la longueur focale. Il s'agit de la vitesse d'obturation idéale pour que les étoiles apparaissent nettes. Par exemple, si vous photographiez avec un 12 mm F2, le calcul est le suivant : 200 / 12 = 16,6 secondes. Comme 16,6 s n'est pas une option disponible, j'arrondis à 15 s. Chaque fois que je monte l'objectif de 12 mm, je sais que je dois utiliser une vitesse d'obturation de 15 secondes. (REMARQUE : le nombre 200 utilisé dans ce calcul ne s'applique qu'au capteur 2x des appareils photo OM SYSTEM).
• Diaphragme : simple. Pleine ouverture. En photographiant à pleine ouverture, vous capturez autant de lumière que possible. Je trouve que les objectifs du système OM sont incroyablement nets même lorsqu'ils sont utilisés à pleine ouverture.
• ISO : avec les anciens modèles d'appareils photo, je suggère de commencer à ISO 1600 pour voir comment l'appareil photo gère le bruit numérique. Je prends régulièrement des photos à 3200 ou 6400 ISO avec l'OM-1 et j'obtiens d'excellents résultats.
• RAW : les images du ciel nocturne nécessitent une post-production, il est donc préférable de prendre des photos en format RAW plutôt qu'en format jpeg.
• Balance des blancs : comme vous prenez des photos en format RAW, vous pouvez ajuster la balance des blancs en post-production. Cependant, je préfère définir une balance des blancs personnalisée de 3800K. C'est facile à faire Super Control Panel en sélectionnant CWB et en tapant la balance des blancs que vous préférez.
• Réduction du bruit : à moins que vous ne trouviez pratique de réduire le bruit en post-production ou en faisant un focus stacking, il est recommandé d'activer la réduction du bruit. Cette opération double le temps d'exposition, mais fait une différence significative dans la quantité de bruit numérique de l'image finale.

Capture d'écran des principaux réglages pour l'astro-paysage sur l'OM SYSTEM OM-1 avec le M.Zuiko 12mm F2 monté. Le Super Control Panel permet d'accéder facilement aux réglages importants tels que la balance des blancs personnalisée, la mise au point automatique Starry Sky et la minuterie personnalisée.

Jusqu'à récemment, l'une des plus grandes difficultés de la prise de vue nocturne était la mise au point. Les étoiles sont si peu lumineuses que l'autofocus normal ne fonctionne pas. C'est là qu'intervient la fonction Starry Sky AF. Cette fonction peut être activée à partir du Super Contrl Panel comme l'une des options AF. D'autres réglages sont disponibles à la page 1 du menu AF. Lorsque la fonction Starry Sky AF est activée, l'appareil photo verrouille la mise au point sur les étoiles en appuyant sur la touche AF-On au dos de l'appareil photo. La mise au point est maintenue jusqu'à ce que l'appareil soit mis hors tension ou que l'objectif soit changé. Deux modes différents sont disponibles : priorité à la précision et priorité à la vitesse. Je préfère le réglage Priorité à la précision. Cette fonction est disponible sur les appareils photo OM System E-M1 Mark III, OM-1 et OM-5. Notez qu'avec l'E-M1 Mark III et l'OM-5, le bouton AEL/AFL est utilisé pour lancer le processus de mise au point automatique du ciel étoilé.

Une fois que le Starry Sky AF est activé, une pression sur le bouton AF-ON au dos de l'OM-1 lance le processus d'autofocus. Une fois la mise au point effectuée sur les étoiles, la référence verte de mise au point clignote et un bip sonore est émis. L'appareil est alors verrouillé sur les étoiles jusqu'à ce qu'il soit éteint ou que l'objectif soit remplacé. Cette fonction a permis d'éviter bien des frustrations, car la mise au point manuelle peut s'avérer un véritable défi.

La fonction Starry Sky AF facilite la mise au point sur les étoiles et fonctionne même à travers de fins nuages.

L'un des problèmes auxquels sont régulièrement confrontés les photographes d'astro-paysage est la difficulté de composer une photo dans l'obscurité. Compte tenu de la faible luminosité nocturne, vous ne voyez généralement que les étoiles les plus brillantes lorsque vous regardez dans le viseur ou sur l'écran LCD. Ce n'est pas le cas lorsque la fonction Vision nocturne de l'OM-1 est activée. Accessible depuis le menu Gear (page 3), cette fonction fait ressortir les détails de la scène, en montrant clairement le ciel nocturne et le premier plan. Cela simplifie grandement le processus de composition d'une photo. Auparavant, je devais prendre plusieurs photos d'essai, en ajustant la position de l'appareil entre chacune d'elles jusqu'à ce que la composition corresponde exactement à ce que je souhaitais. La fonction de vision nocturne rend ce processus beaucoup plus rapide et facile.

La fonction de vision nocturne amplifie la lumière entrante pour faciliter la composition d'une photo dans l'obscurité.

Je fais souvent des photos de nuit et je veux que ces réglages soient prêts instantanément. La dernière chose que je souhaite faire, c'est tâtonner dans l'obscurité pour trouver les bons réglages à chaque fois que je sors. Pour faciliter cette tâche, je les programme dans l'un des modes personnalisés, dans mon cas le C4. Pour ce faire, j'ai monté mon objectif fisheye M.Zuiko 8mm F1.8 PRO sur mon boîtier OM-1 (la combinaison que j'utilise le plus pour les prises de vue nocturnes), j'ai sélectionné tous les réglages appropriés et j'ai sauvegardé le tout dans le mode personnalisé 4. Maintenant, lorsque j'arrive sur place, il me suffit de tourner le sélecteur de mode sur C4 et je suis prêt à photographier.

La prise de vue à intervalles ou time lapse peut être un excellent moyen de capturer une grande série d'images sur de longues périodes de temps, de quelques minutes à plusieurs heures. J'ai utilisé cette fonction dans plusieurs situations ;

• Vidéo time lapse : plusieurs centaines de photos prises sur plusieurs heures peuvent être fusionnées dans OM Workspace pour créer des vidéos time lapse. L'appareil photo et le logiciel disposent de nombreux paramètres qui contrôlent la lecture des images. J'ai créé des vidéos de la Voie lactée qui se lève, des étoiles qui tournent autour de Polaris et des aurores boréales qui dansent dans le ciel.
• Photographier les pluies de météores : lorsque je photographie une pluie de météores, comme les Géminides en décembre, j'utilise la prise de vue par intervalles. J'augmente ainsi les chances de capturer une pluie de météores.
• Images en accéléré : c'est peut-être l'utilisation que je préfère de la prise de vue par intervalles. Je règle l'appareil photo comme si je créais une vidéo en time lapse, mais je ne sélectionne que deux ou trois images prises à différents moments de la prise de vue et je les mélange en post-production pour créer une vue plus surréaliste du paysage.

Il est important de savoir si la réduction du bruit doit être activée ou non lors de la prise de vue à intervalles. Si la réduction du bruit est activée, le temps entre les prises de vue est doublé. Une exposition de 20 secondes ajoute 20 secondes supplémentaires pour appliquer la réduction du bruit. Cela signifie que votre vidéo time lapse risque de ne pas être aussi fluide à la lecture. Vous risquez également de perdre cette incroyable étoile filante pendant que l'appareil photo applique la réduction du bruit. En général, je laisse la fonction NR désactivée lorsque j'utilise la prise de vue à intervalles.

La prise de vue à intervalles vous permet de prendre des centaines de photos au cours de la nuit. Deux paramètres doivent faire l'objet d'une attention particulière. Dans la plupart des cas, la durée de l'intervalle doit être de 1 seconde. Cela rendra la lecture des vidéos time lapse plus fluide. Réglez également le mode d'intervalle sur "Priorité à l'image", ce qui n'est pas le réglage par défaut. Cela donnera la priorité au nombre d'images que vous avez programmé.

Considérez le retardateur personnalisé comme un "time lapse light". Il dispose de la plupart des commandes de la prise de vue à intervalles, mais à une échelle beaucoup plus petite. Au lieu de pouvoir prendre 9999 images, il ne peut en prendre que 10. Au lieu d'avoir un délai de 24 heures, le maximum est de 30 secondes. La durée maximale de l'intervalle avec le retardateur personnalisé n'est que de 3 secondes, au lieu de 24 heures. Cela peut sembler restrictif, mais je l'utilise chaque fois que je prends des photos de nuit. Pour capturer mes scènes nocturnes, j'utilise une technique appelée image stacking. Je prends une série de 10 photos d'une scène, puis je les "empile" en post-production. Cette technique permet de réduire considérablement la quantité de bruit numérique dans la photographie finale et d'améliorer la plage dynamique. Le retardateur personnalisé me permet de capturer facilement ces 10 images d'un simple clic sur l'obturateur. Je programme également un délai avec le retardateur personnalisé si je veux m'insérer dans l'image. Cela me donne le temps de me positionner pour la photo.

Le retardateur personnalisé est facilement accessible depuis le Super Contro Panel et vous permet de contrôler le retardateur, le nombre d'images et la durée de l'intervalle.

Live Composite

La fonction Live Composite est la fonction parfaite pour capturer le ciel nocturne et je trouve que l'hiver est le moment idéal pour l'utiliser. De nombreux autres articles ont été écrits à ce sujet (voir ci-dessous), je me limiterai donc à celui-ci. La fonction Live Composite vous permet de prendre de très longues expositions (jusqu'à six heures !) sans brûler les lumières de la photo. Cette fonction est idéale pour capturer les traînées d'étoiles. Dans la plupart des cas, je règle l'exposition de base en utilisant les mêmes paramètres que ceux que j'utiliserais pour une seule photo. La fonction Live Composite est activée en tournant le sélecteur de mode sur "B" et en sélectionnant "LIVECOMP". En appuyant sur le bouton "Menu", vous accédez directement aux réglages de la fonction composite dans le menu. Il s'agit essentiellement de régler la vitesse d'obturation.

Par exemple, si je photographiais avec le M.Zuiko 12mm F2, je réglerais le paramètre Composite sur 15 secondes. Cependant, comme j'essaie de capturer le mouvement des étoiles plutôt que de photographier des points nets pour mes étoiles, je peux obtenir de bons résultats en utilisant des expositions de base plus longues. De cette manière, plus de lumière est recueillie pour l'image, mais il ne faut pas en faire trop. Si l'exposition de base est trop longue, les couleurs douces des étoiles s'estomperont.

Une fois que l'exposition de base a été réglée, il faut appuyer deux fois sur le déclencheur. La première exposition est une image sombre de la durée du réglage composite. Elle est utilisée pour la réduction du bruit. La seconde pression sur le déclencheur déclenche le processus Live Comp, visible en direct sur l'écran LCD. L'obturateur reste ouvert pendant le processus et l'image est mise à jour en fonction de l'exposition de base sélectionnée. Seules les zones de l'image où la lumière a changé sont mises à jour dans l'image finale.

En attendant le retour de la Voie lactée à la fin de l'hiver, je sors souvent pour réaliser des séquences Live Composite en décembre et janvier. Bien qu'il soit possible de pointer l'appareil photo dans n'importe quelle direction, je préfère inclure Polaris, pour donner au ciel ce merveilleux motif circulaire de traînées d'étoiles.

J'évite généralement de photographier de nuit pendant la pleine lune, mais parfois cela peut être un avantage. Cette baie couverte de glace était bien éclairée pendant la séquence Live Composite.

L'image ci-dessous illustre la manière dont j'utilise la fonction d'exposition multiple en photographie. Par un soir de janvier particulièrement glacial, j'ai voulu inclure la lune dans la photo. Malheureusement, elle était trop haute dans le ciel. Ce n'est pas un problème ! En utilisant l'exposition multiple, j'ai pu retirer la lune du ciel et la placer exactement là où je le souhaitais (quelle puissance !!!).

La fonction d'exposition multiple a été utilisée pour positionner la lune sur cette photo.

L'exposition multiple est accessible à la page 1 du menu de l'appareil photo 2. La fonction de superposition permet de superposer une deuxième prise de vue à n'importe quelle image stockée sur la carte mémoire. Je laisse généralement la fonction de gain automatique active. Cela permet d'équilibrer l'exposition entre les deux prises de vue.

Il m'a fallu du temps pour m'habituer à photographier la nuit. Il y a eu beaucoup d’essais et d’erreurs et plusieurs obstacles à surmonter. J'ai écrit cet article pour être un point de référence pour ceux qui s'intéressent à la photographie d'astronomie. Il couvre les bases pour ceux qui débutent et, espérons-le, fournira une inspiration à ceux qui ont déjà commencé. Cela reste l’un de mes styles de photographie préférés et l’hiver est certainement ma saison préférée pour capturer la beauté du ciel nocturne.

La fin du mois de février est le moment idéal pour sortir tôt le matin et photographier la Voie lactée qui se lève. Pointez votre appareil photo en direction du sud-est pour capturer le noyau qui se lève.

Un soir de lune peut être un moment parfait pour photographier un paysage hivernal. 

Cette image est composée de deux photos mélangées, l'une prise individuellement et l'autre en utilisant la fonction Live Composite. Je voulais exagérer l'épaisseur des traînées d'étoiles et j'ai donc adouci un peu la mise au point pour l'image Live Comp.

Ce "mélange temporel" a été créé à l'aide de la prise de vue par intervalles. Une série de photos a été prise pendant plusieurs heures. Trois de ces photos ont été sélectionnées et mélangées en post-production pour créer cette image.

En programmant un délai dans la minuterie personnalisée, j'ai pu me mettre en position pour ce " selfie créatif ".

Pour plus de détails sur certaines des fonctions abordées ici, veuillez vous référer aux articles suivants du Centre d'apprentissage OM SYSTEM.

• Starry Sky
• Capturing metero showers
• Live Composite and Star trails
• Shoot the moon
• Astrophotography 101

Produits présentés :

• OM-1
• OM-D E-M1 Mark III
• M.Zuiko Digital ED 12-40mm F2.8 PRO
• M.Zuiko Digital ED 7-14mm F2.8 PRO